vendredi 23 mai 2008

sur le petit dictateur (bilingue)






Premières réflexions au fil de la lecture d'Iluminaciones filosoficas, et de Sobre el Fundamento, d'Ignacio Gomez de Liano.

Primeras reflexiones al hilo de la lectura de Iluminaciones filosóficas, y de Sobre el Fundamento, de Ignacio Gómez de Liaño.



Todos tenemos un dictadorcillo dentro que nos dice cómo deberia ser el mundo. Creo que Maquiavelo supo hacer a la vez, en El Príncipe, la disección tanto de nuestro interior político como de lo que pasa realmente en el mundo. El filósofo acostumbra a esforzarse en pensar el mundo tanto como el interior, y no todos se satisfacen de la decepción de Maquiavelo. Es lugar común que Platón tenía veleidades totalitarias. Y que Auguste Comte, erigiendo la sociología en regente de todos los saberes hacía otro tanto. El extremo del ridículo se alcanza con Pavlov, haciendo salivar a un perro al sonido de un silbato, engaño consumado que no podrá demostrar sino una verdad sádica. Pero el Platón oculto, o el aspecto esotérico de una parte del platonismo suponen un refreno hacia el interior de ese Platón erigido en gran dictador. El valor del ejercicio de la metafísica como Imposible, y la petición de lo imposible a la socialidad me parecen las maneras más éticas de impedir a nuestro dictador interior expandirse y operar maldades por el mundo, como antaño el sacrificio del filósofo en la lava del volcán (símbolo de todos los excesos) protegía la ciudad.


Nous avons tous un petit dictateur à l'intérieur de nous qui nous dit comment devrait être le monde. Je crois que Machiavel a su opérer à la fois, dans Le Prince, la dissection tant de notre intérieur politique que de ce qui se passe réellement dans le monde. Le philosophe a l'habitude de s'exercer à penser le monde autant que l'intérieur, et ce ne pas tous qui se satisfont de la déception de Machiavel. Il est un lieu commun que Platon avait des velléités totalitaires. Et qu'Auguste Comte, en érigeant la sociologie en régent de tous les savoirs faisait de même. L'extrême du ridicule est atteint avec Pavlov, faisant saliver un chien au son d'un sifflet, tromperie consommée qui ne pourra démontrer qu'une vérité sadique. Mais le Platon occulte, ou l'aspect ésotérique d'une partie du platonisme supposent un frein vers l'intérieur de ce Platon érigé en grand dictateur. La valeur de l'exercice de la métaphysique comme Impossible, et la demande de l'impossible à la socialité me semblent les manières les plus éthiques d'empêcher notre dictateur intérieur de se répandre et d'opérer des méfaits de par le monde, comme antan le sacrifice du philosophe dans la lave du volcan (symbole de tous les excès) protégeait la ville.

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