mercredi 21 septembre 2011

soledades salomónicas




las columnas, las esfinges,
estas imagenes grises y luminosas
que reivindican la libertad y el
descanso



el jade negro que no existe
y que te mira y se bebe
el agua que te limpia
del paso de los días, del mecanismo
de la chinche y de la calle
de la importancia que se desperdicia
y acumula las partes del cuerpo
en la fosa común que gira
sobre su propio eje, salivando
como una boca con prepucio de
cristal

Sinon, l'esclave rêve ? et qu'est-ce qu'il rêve ?
sans importance ou gravissime
s'abîme la sève de la spine

Le stoïque ne peut que plus pédant
si l'académique finit par le croire
et le pantin du plaisir s'exerce sur la tablette

Je veux vomir le méchant qui était dans mon bonheur
je l'ai la boule noire au coeur à l'estomac au pubis
que le diable sorte en le lait de tes seins et la noire bile
épaisse et gluante comme un parfumé goudron chaud
de volupté
le vomi du sang du cochon
le vertige de l'âge des sectes et du dieu empereur

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