mardi 16 septembre 2014

Pantoum séquentiel pour traverser l'espace

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no le gusta que le den la lata, a ***
me ha mandado a freir esparragos
bueno, yo lo adoro
no me importa, sé que él también me quiere
es como aceptar el lesbianismo de alguna que otra amiga o musa
el misterio de Proust es la libido social

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es que bueno, yo los artistas que he apreciado, era mas mi generacion, postpop, neopobre tendencia kitsch y expresionista retro
pero entiendo perfectamente la eleccion un poco peppermint frappé

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mardi, mi-septembre 2014

Place ***

Assis au café je remarque qu’avec le marché populaire et la terrasse de café sur le même espace, tout le monde est en train de délirer. Moi-même j’ai dû chercher l’inspiration pour venir peut-être assister à un cour de yoga, comme à l’époque de mon arrivée à Paris. Côté yoga non seulement je n’ai pas évolué, mais au début j’ai vécu de mes acquis, puis je les ai perdu. Cela dévient plus éprouvant de recommencer que de simplement commencer.

Je porte avec moi, à part un « que sais-je ? » de Claude Hagège, le « Xiyou ji » de Wu Cheng’en : le singe pèlerin, et je l’explore par plombées. Le même sentiment d’impuissance que pour le yoga, en égard de ce monument mythique. J’attends aussi « de descendre sur terre » depuis ce que j’ai fumé à la maison de ***. Je ne savais pas quoi faire.

Les préventions et sursauts m’empêchaient de me concentrer sur rien. Donc, je viens, en rentrant dans le cours de yoga, de vivre ma « descente » confié à l’autorité de ma nouvelle professeur. **** qui avait été ma professeur était bien là, et je l’ai salué. Mais, je me suis penché pour changer de personne.


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